Il me semble que nous avons fait ce que nous sommes en capacité de faire : recommander la GreenUp en soulignant que ce type de prise offre plus de sécurité. N’étant ni un organisme de certification, ni une émanation de l’administration nous n’avons aucune autorité pour imposer quelque chose et quand bien même nous tenterions de le faire le législateur ayant, lui, fait le choix d’insérer dans le texte du décret une dérogation pour la catégorie de lieux correspondants aux gîtes il serait aisé à tout ceux qui privilégient le gain à la sécurité de se prévaloir de cette dérogation pour justifier leur choix.
Donc je maintiens que, contrairement à ce que dit cette personne, le texte des Gîtes de France ( car il s’agit bien d’un document Gîtes de France auquel nous avons contribué et non d’un document ACOZE France utilisé par les Gîtes de France ) est conforme à la réglementation et que nous n’avons pas donné de mauvais conseils durant notre intervention.
Il serait intéressant d’avoir la vision des Gîtes de France sur ce débat car il y a probablement eu une relecture par un juriste pour un tel document dans la mesure où il engage potentiellement la responsabilité des Gîtes de France envers leurs adhérents. Si tel est le cas je doute que les Gîtes de France soient enclins à aller au-delà de simples recommandations.
Maintenant libre aux Gîtes de France de changer la formulation pour imposer la GreenUp à leurs adhérents si cela ne leur pose aucun problème de responsabilité mais cela ne devrait pas se faire en disant que seul ce format de prise est légal pour les hébergements car ce n’est pas ce que dit le décret.